Neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus
Neuvaine au Cœur Immaculé de Marie
Neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus
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Premier jour de la neuvaine
Prions le Cœur de notre Seigneur Jésus Christ qui nous témoigna son amour en venant dans le monde pour nous sauver.
Dieu de miséricorde et d’amour, Tu as envoyé ton Fils unique dans le monde pour accomplir notre Rédemption. Depuis lors, il nous aima avec un cœur humain et ainsi nous manifesta visiblement ton amour. Nous te remercions et nous te louons pour un tel bienfait et nous te prions de nous faire pénétrer plus avant dans ce mystère d’amour. Nous te le demandons par notre Seigneur Jésus-Christ, ton Fils, qui vit et règne avec Toi et le Saint-Esprit, un seul Dieu, pour les siècles des siècles.
De l’épître de Saint Paul à Tite 3, 4-8
Le jour où apparurent la bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes, il ne s’est pas occupé des œuvres de justice que nous avions pu accomplir, mais poussé par sa seule miséricorde, il nous a sauvés par le bain de la régénération et de la rénovation en l’Esprit Saint. Et cet Esprit, il l’a répandu sur nous à profusion, par Jésus-Christ, notre Sauveur, afin que justifiés par la grâce du Christ, nous obtenions en espérance l’héritage de la vie éternelle.
Méditation :
« Si tu savais le don de Dieu » (Jn 4,10). Si les hommes pouvaient savoir quel est ce visage qui nous est plus intérieur que tout, et qui nous édifie, et qui nous conforme à lui. On reproduit ses traits. Ce visage, c’est aussi le cœur qui est intériorisé. Le visage dévoile le cœur. Le visage, c’est la révélation du cœur. Et toujours son visage ! (..)
Le mystère de sa Face, c’est aussi celui de son absence apparente : c’est pouvoir dévoiler en nos cœurs une présence de son visage plus totale. Notre visage… visage de grâce du Seigneur ! Au fond, il s’agit à travers tout de reconnaître son Visage. Et notre vie va de gloire en gloire, d’un visage déjà conforme au Christ à un visage encore plus conforme. Et, c’est l’unité, parce que c’est le même visage. L’incarnation, c’est ce visage révélé par le cœur, l’Esprit.
Il fallait qu’il vienne comme il est venu.(…) Ce visage suppose le retrait des choses du monde, comme l’amour. Il faut le monde, mais l’amour ne se dévoile qu’avec les yeux du cœur.(…) Le visage révèle le cœur, et dans l’amour les yeux contemplent le visage pour rencontrer le cœur. Comme le Seigneur a fait des merveilles ! Tout est merveille à condition d’être dans son Cœur ! Le sens de la dévotion au Cœur du Christ est là.
Père Marie-Joseph le Guillou op
Père de miséricorde, regarde le Cœur de ton Fils, et l’amour qu’il nous a témoigné en se faisant homme. A cause de cet amour, reçois notre prière et aide-nous à l’aimer en retour, lui qui vit et règne avec Toi pour les siècles des siècles. Amen
Deuxième jour de la neuvaine
Prions le Cœur de notre Seigneur Jésus Christ
dont le côté fut transpercé sur la croix.
Père, ton Fils nous a aimés et s’est livré pour nous jusqu’à la mort de la croix. Fais que son Cœur transpercé nous soit un rappel constant de son immense amour et nous presse à l’aimer comme il nous a aimés. Lui qui vit et qui règne avec Toi et le Saint Esprit, un seul Dieu, pour les siècles des siècles.
Du livre de Zacharie 12, 9-10 ; 13, 1
Le Seigneur dit : « Ce jour-là, je répandrai sur la maison de David et sur Jérusalem, un esprit de grâce et de supplication, et ils regarderont vers celui qu’ils ont transpercé. Ils se lamenteront sur lui comme on se lamente sur un fils unique, ils pleureront comme on pleure un premier-né. Ce jour-là, il y aura une fontaine ouverte pour David et les habitants de Jérusalem, pour laver péché et souillure. »
De l’Évangile selon Saint Jean 19, 32-34
Les soldats vinrent donc et brisèrent les jambes du premier, puis de l’autre qui avait été crucifié avec lui. Venus à Jésus, quand ils virent qu’il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais un soldat, de sa lance, lui perça le côté, et il sortit aussitôt du sang et de l’eau.
Méditation :
Qui accepte l’amour de Dieu intérieurement, est façonné par lui. L’amour de Dieu dont l’homme fait l’expérience est vécu par lui comme un « appel » auquel il doit répondre.
Le regard tourné vers le Seigneur, qui « a pris nos infirmités et s’est chargé de nos maladies » (Mt 8, 17), nous aide à devenir plus attentifs à la souffrance et aux besoins des autres. La contemplation pleine d’adoration du côté transpercé par la lance nous rend sensibles à la volonté salvifique de Dieu. Elle nous rend capables de nous en remettre à son amour salvifique et miséricordieux et, dans le même temps, elle nous renforce dans le désir de participer à son œuvre de salut en devenant ses instruments.
Les dons reçus du côté ouvert, duquel coulent « sang et eau », font en sorte que notre vie devienne également pour les autres une source d’où proviennent « des fleuves d’eau vive ».
L’expérience de l’amour puisée au culte du côté transpercé du Rédempteur nous protège du risque du repli sur nous-mêmes et nous rend plus disponible à une vie pour les autres. « A ceci nous avons connu l’amour : celui-là a donné sa vie pour nous. Et nous devons nous aussi donner nos vies pour nos frères » (1 Jn 3, 16).
Benoît XVI, 15 mai 2006
Seigneur Jésus, Tu as dis que lorsque Tu serais élevé sur la croix, Tu attirerais tous les hommes à toi. Nous t’en prions, hâte le jour où tous les hommes seront attirés vers ton Cœur ouvert pour y trouver tous les trésors de ton amour et une demeure sûre, maintenant et toujours. Toi qui vis et qui règnes pour les siècles des siècles.
Troisième jour de la neuvaine
Prions le Cœur de notre Seigneur Jésus Christ
qui, ressuscité des morts, nous a révélé son amour
par ses plaies glorieuses.
O Dieu tu as compensé le sacrifice de ton Fils par une gloire éternelle. Fais que la vue de la plaie de son côté, nous soit un constant rappel de son amour pour nous et des souffrances qu’il a endurées pour notre salut. Fais que nous fassions fructifier les grâces qu’il nous a méritées et qu’ainsi nous puissions arriver à la demeure qu’il nous a préparée et où nous pourrons te louer dans les siècles des siècles.
De l’Évangile selon Saint Jean 20, 26-29
Huit jours après, les disciples étaient de nouveau à l’intérieur, et Thomas était avec eux. Jésus vint, les portes étant fermées. Il se tint au milieu d’eux et dit :« à vous ! » Puis il dit à Thomas :« Avance ton doigt ici et regarde mes mains ; avance ta main et mets-la dans mon côté.Et ne sois plus incrédule mais croyant. » Thomas répondit :« Mon Seigneur et mon Dieu ! » Jésus lui dit :« Parce que tu m’as vu, tu a cru. Heureux ceux qui auront cru sans avoir vu ! »
Quatrième jour de la neuvaine
Prions le Cœur de notre Seigneur Jésus Christ qui envoya le Saint-Esprit comme premier don de son amour.
Dieu, au commencement, ton Esprit Saint planait sur les eaux. A l’aube de notre rédemption, il couvrit la Vierge Marie de son ombre, forma en elle le Cœur de son Fils et le remplit de son amour. Fais que ton Esprit Saint vienne aussi sur nous et répande ton amour en nos cœurs. Nous te le demandons par notre Seigneur Jésus Christ, ton Fils qui vit et règne avec Toi et le Saint-Esprit, un seul Dieu pour les siècles des siècles.
De l’Évangile selon Saint Jean 7, 37-39
C’était le jour solennel où se terminait la fête des tentes. Jésus, debout dans le temple de Jérusalem, s’écria : « quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive, celui qui croit en moi ! » Comme dit l’Ecriture : Des fleuves d’eau vive jailliront de son cœur. En disant cela, il parlait de l’Esprit Saint, l’Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en Lui. En effet, l’Esprit Saint n’avait pas encore été donné, parce que Jésus n’avait pas encore été glorifié par le Père.
Méditation
Nous pouvons reposer notre espérance dans le Cœur du Christ. Ce Cœur, dit l’invocation, est le salut « pour ceux qui croient en lui ».
Le Seigneur qui, la veille de sa passion, demanda aux Apôtres d’avoir confiance en lui : « Que votre cœur cesse de se troubler ! Croyez en Dieu, croyez aussi en moi » (Jn 14,1), nous demande aujourd’hui d’avoir pleinement confiance en lui. Il nous le demande parce qu’il nous aime car, pour notre salut, il a eu le Cœur transpercé, les pieds et les mains cloués…
Quiconque croit en Christ et croit dans la puissance de son amour, renouvelle en lui l’expérience de Marie de Magdala, comme nous la présente la liturgie pascale :
« Le Christ, mon espérance, est ressuscité ! »
Réfugions-nous donc dans le Cœur de Jésus !
Il nous offre une parole qui est éternelle (cf. Mt 24,25), un amour qui ne manque jamais, une amitié qui ne fait jamais défaut, une présence qui ne cesse pas (Mt 28,20).Jean Paul II
O Dieu, ton Fils n’a pas repoussé Thomas malgré son manque de foi mais lui a permis de toucher ses mains et son côté. Conscients de la faiblesse de notre propre foi, nous te prions de l’affermir. Nous te le demandons par Jésus-Christ ton Fils qui se tient devant ton trône portant dans son corps les cicatrices glorieuses de ses plaies maintenant et pour les siècles des siècles.
Cinquième jour de la neuvaine
Prions le Cœur de notre Seigneur Jésus Christ qui dans son grand amour nous donna l’Eucharistie.
0 Dieu, parmi toutes les preuves d’affection que nous a données ton Fils, le témoignage le plus frappant de l’amour de son Cœur a été l’institution de l’Eucharistie. Fais que nous sachions toujours lui prouver notre reconnaissance par notre amour et notre adoration et une participation fervente au sacrifice eucharistique. Nous te le demandons par ton Fils, qui vit et règne avec Toi pour les siècles des siècles.
De l’Évangile selon Saint Marc 14, 22-24
Quand l’heure fut venue, Jésus se mit à table et les Apôtres avec lui. Il leur dit : « J’ai ardemment désiré manger cette Pâque avec vous avant de souffrir ! Car je vous le déclare : jamais plus je ne la mangerai jusqu’à ce qu’elle soit pleinement réalisée dans le Royaume de Dieu. » Puis il prit du pain ; après avoir rendu grâces, il le rompit et le leur donna en disant : « Prenez, mangez : ceci est mon corps donné pour vous. » Puis, prenant une coupe et rendant grâces, il la leur donna disant : « Buvez-en tous car ceci est mon sang, le sang de l’Alliance répandu pour la multitude en rémission des péchés. Faites ceci en mémoire de moi. »
Sixième jour de la neuvaine
Prions le Cœur de notre Seigneur Jésus Christ,
Bon Pasteur, plein d’amour et de bonté.
0 Seigneur, notre Berger, dans ta bonté et ta sagesse, garde-nous avec soin, et dirige nos vies. Ton Cœur n’a qu’un désir : nous conduire à ton Père. Fais que nous puissions toujours écouter ta voix et te suivre de plus près chaque jour de notre vie. Nous te le demandons à Toi qui vis et règnes avec le Père et le Saint-Esprit, un seul Dieu, pour les siècles des siècles.
C’est moi qui ferai paître mon troupeau, et c’est moi qui le ferai reposer, déclare le Seigneur Dieu. La brebis perdue, je la chercherai, l’égarée, je la ramènerai. Celle qui est blessée, je la soignerai. Celle qui est faible, je lui rendrai des forces. Celle qui est grasse et vigoureuse, je la garderai, je la ferai paître avec justice. Ez 34, 15-16
Septième jour de la neuvaine
Prions le Cœur de notre Seigneur Jésus Christ patient et très miséricordieux.
Père de toutes miséricordes, Tu as envoyé ton Fils dans le monde, alors que nous étions pécheurs, et Tu as emplis son Cœur de bonté et de miséricorde pour que, par sa Passion et sa Mort, il nous obtienne le pardon de nos péchés et fasse de nous tes enfants. Fais que nous soyons toujours reconnaissants et souviens-toi de ta miséricorde et de celle de ton Fils qui vit et règne avec Toi et le Saint-Esprit, un seul Dieu, pour les siècles des siècles.
La parole du Seigneur me fut adressée : « J’irai vous prendre dans toutes les nations ; je vous rassemblerai de tous les pays et je vous ramènerai sur votre terre. Je verserai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés. De toutes vos souillures, de toutes vos idoles je vous purifierai. Je vous donnerai un cœur nouveau. Je mettrai en vous un esprit nouveau. J’enlèverai votre cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai en vous mon Esprit : alors vous suivrez mes lois, vous observerez mes commandements et vous y serez fidèles. Vous habiterez le pays que j’ai donné à vos pères. Vous serez mon peuple, et moi, je serai votre Dieu. » Ez 36, 24-26
Huitième jour de la neuvaine
Prions le Cœur de notre Seigneur Jésus Christ notre modèle dont nous devons suivre l’exemple.
Seigneur Dieu, revêts-nous de la sainteté du Cœur de ton Fils et enflamme-nous de son amour. Transforme nos cœurs à l’image du sien pour que tous puissent nous reconnaître comme ses disciples. Nous te le demandons par Jésus-Christ, ton Fils, qui vit et règne avec Toi et le Saint-Esprit, un seul Dieu, pour les siècles des siècles.
De l’Évangile selon Saint Matthieu 11, 25-30 En ce temps-là, Jésus prit la parole : « ère, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits. Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bonté. Tout m’a été confié par mon Père ; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler. Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »
Méditation :
Le Christ a donc été envoyé par le Père pour communiquer l’Esprit, pour faire que les hommes demeurent dans l’amour du Père et du Fils, pour qu’ils puissent faire l’expérience de demeurer dans l’amour trinitaire : « le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés, demeurez en mon amour.
Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez
dans mon amour, comme moi j’ai gardé les commandements de mon Père et je demeure en son amour. » (Jn 15, 9-10)
Parce qu’il est Celui sur qui repose l’amour du Père, Celui qui s’est mis à la place des pécheurs et qui demeure dans son amour, le Christ est Celui qui communique aux hommes l’Esprit de Dieu.
L’expérience fondamentale du Christ à laquelle les chrétiens doivent participer par toute leur vie est ainsi celle de l’eudokia du Père, au cœur de laquelle est plantée la Croix.
Un avec le Fils par l’Esprit qui leur est donné, ils peuvent désormais se laisser aimer de l’amour même dont le Christ est enveloppé de toute éternité par le Père et lui répondre, toujours un avec le Fils, en conformant leur vie à sa vie.
Père Marie-Joseph le Guillou
Seigneur Jésus, notre Berger, dans la bonté de ton Cœur, guide nous et tout ton peuple sur la route qui conduit au Père. Laissés à nous-mêmes, nous sommes inconstants ; intensifie notre amour pour Toi pour qu’il nous soit source de force et que nous puissions te suivre généreusement. Toi qui vis et règnes pour les siècles des siècles. Amen.
Neuvième jour de la neuvaine
Prions le Cœur de notre Seigneur Jésus Christ
qui a consacré le monde par son amour.
Père des miséricordes, Tu as envoyé ton Fils dans le monde pour le sauver et tu l’as établi Chef de la création. Fais que le feu de l’amour qui brûle dans son Cœur s’étende au monde entier et ainsi le consume à la louange de ta gloire. Nous te le demandons par Jésus-Christ, ton Fils, qui vit et règne avec Toi et le Saint-Esprit, un seul Dieu, pour les siècles des siècles.
De la première épître de Saint Jean 4, 7-16
Voici à quoi se reconnaît l’amour : ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, c’est lui qui nous a aimés, et il a envoyé son Fils qui est la victime offerte pour nos péchés. Mes bien-aimés, puisque Dieu nous a tant aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres. Dieu, personne ne l’a jamais vu. Mais si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour atteint en nous sa perfection. Nous reconnaissons que nous demeurons en lui, et lui en nous, à ce qu’il nous donne part à son Esprit. Et nous qui avons vu, nous attestons que le Père a envoyé son Fils comme Sauveur du monde. Celui qui proclame que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu.
Méditation :
La religion catholique nous éclaire, en faisant briller à nos yeux, la plus douce, la plus lumineuse, la plus chaude, la plus bienfaisante des vérités, la « érité » du Sacré-Cœur de Jésus.
La révélation de cette vérité, c’est la révélation de l’amour de Dieu pour nous. Nous ne sommes pas délaissés, oubliés, seuls, sur la voie de la Croix, sur la voie que suit Jésus ; nous y avons un Cœur qui nous aime, nous y sommes aimés, on nous y aime à tout instant ; avant que nous fussions, un Cœur nous a aimés d’un amour éternel, et tout le cours de notre vie, ce Cœur nous embrase du plus chaud des amours.
Ce Cœur est parfait, pur comme la lumière, plus innocent que les anges, nulle souillure ne L’a approché, l’intelligence divine brille en Lui, toutes les beautés et les perfections incréées resplendissent en Lui : c’est le Cœur de Jésus, le Cœur de Dieu fait homme. Charles de Foucauld Seigneur Jésus, Tu aimes les pécheurs, et dans ta miséricorde, Tu leur pardonnes. Nous t’en prions, au nom de ton amour, aide-les à s’approcher plus près de ton Cœur, et à y trouver une source de miséricorde et le pardon de leurs péchés, Toi qui vis et règnes pour les siècles des siècles.
O Dieu, notre Père des cieux, PRENDS PITIE DE NOUS
O Dieu, Fils Rédempteur du monde, PRENDS PITIE DE NOUS
O Dieu, Esprit Saint, PRENDS PITIE DE NOUS
O Dieu, unique Trinité Sainte, PRENDS PITIE DE NOUS
Cœur du Christ, Fils du Père éternel, NOUS T’ADORONS
Cœur du Christ formé par le Saint Esprit
dans le sein de la Vierge Marie, «
Cœur du Christ, uni substantiellement au Verbe de Dieu, «
Cœur du Christ, Temple saint de Dieu, «
Cœur du Christ, Tabernacle du Très-Haut, «
Cœur du Christ, en qui réside la plénitude de la divinité,
Cœur du Christ, Fournaise ardente de charité, «
Cœur du Christ, avide de faire la volonté du Père, «
Cœur du Christ, en qui le Père se complait, «
Cœur du Christ, Sanctuaire de la justice et de l’amour, «
Cœur du Christ, blessé par ceux que tu voulais sauver NOUS T’ADORONS
Cœur du Christ, abandonné par tes amis, «
Cœur du Christ, broyé à cause de nos péchés, «
Cœur du Christ, agonisant jusqu’à la sueur de sang, «
Cœur du Christ, obéissant jusqu’à la mort, «
Cœur du Christ, dont le sacrifice nous sauve, «
Cœur du Christ, ouvert par la lance, «
Cœur du Christ, dont l’Esprit d’Amour se répand sur nous,
Cœur du Christ ressuscité et source de notre vie, NOUS T’ADORONS
Cœur du Christ par qui nous est communiqué l’Esprit, «
Cœur du Christ, Source de lumière et de tout Amour, «
Cœur du Christ, en qui tous les cœurs se rencontrent, «
Cœur du Christ, Bienveillant pour ceux qui t’invoquent,
Cœur du Christ, Salut de ceux qui espèrent en toi, «
Unis à ceux qui ne te connaissent pas, NOUS TE PRIONS
Unis à ceux qui te cherchent avec droiture, «
Unis à ceux qui ont perdu confiance en toi, «
Unis à ceux que la souffrance a éloigné de toi, «
Unis à tous les peuples de la terre, «
avec le Saint Père, les évêques, les prêtres,
les consacrés et tous les chrétiens. «
JESUS, DOUX ET HUMBLE DE CŒUR,
RENDS NOTRE CŒUR SEMBLABLE AU TIEN.
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Neuvaine au Cœur Immaculé de Marie
[Jour 1] [Jour 2] [Jour 3] [Jour 4] [Jour 5] [Jour 6] [Jour 7] [Jour 8] [Jour 9]
Jour 1
Prières quotidiennes
Au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen. Je crois en Dieu
Je serai à l’égard d’Israël comme une rosée (Os 14,6), disait le Seigneur par un prophète, en parlant du peuple chéri : les coups de la justice du Seigneur pourraient-ils nous atteindre, vous ayant pour rempart, ô vous qui êtes sa Mère ! Et n’avons-nous pas en vous le gage des plus abondantes bénédictions ?
Cœur Immaculé de Marie, pleine d’amour pour Dieu et l’humanité, et de la compassion pour les pécheurs, je me consacre entièrement à vous. Je vous confie le salut de mon âme. Que mon cœur soit toujours uni au vôtre, afin que je puisse haïr le péché, aimer Dieu et mon prochain, pour gagner la vie éternelle avec ceux que j’aime.
Médiatrice de toutes grâces et Mère de Miséricorde, souvenez-vous du trésor infini que votre divin Fils a mérité par sa souffrance et qu’il vous a confié pour nous, vos enfants. Rempli de confiance en votre cœur maternel, et pour le bien du Sacré-Cœur de Jésus, obtenez-moi la grâce que je demande: [Indiquer votre demande…].
Chère maman, si ce que je demande ne devait pas être conforme à la volonté de Dieu, priez pour que je puisse recevoir ce qui sera plus avantageux pour mon âme. Puis-je connaître la bonté de votre intercession auprès de Jésus au cours de la vie et à l’heure de ma mort?
Vous êtes après Dieu toute notre espérance ; c’est à vous que nous avons recours dans nos tentations, nos maladies, nos dangers, nos afflictions, nos entreprises, dans toutes nos nécessités ; justes et pécheurs, grands et petits, savants et ignorants, tous nous allons à vous ; ne cessez point d’attirer sur nous les bienfaits du Seigneur ; faites-y descendre la rosée de la grâce, qu’elle convertisse les pécheurs, qu’elle donne de la vigueur aux tièdes, qu’elle fasse croître et persévérer les justes.
Sainte Mère de Dieu, l’Eglise célèbre la mémoire de votre glorieuse Assomption, et remercie le ciel de la gloire et des honneurs qu’il vous a prodigués grâce à vos incomparables vertus. C’est bien aujourd’hui que « toutes les nations doivent vous appeler bienheureuse, parce que le Seigneur a fait en vous de grandes choses » (Lc 1, 48-49), et qu’il est convenable de vous saluer avec l’ange : « Pleine de grâces et bénie entre toutes les femmes » (Lc, 1,28).
Laissez-nous donc, ô Marie, unir nos hommages à ceux de l’Eglise ; acceptez notre amour avec le sien, et comme elle, permettez-nous de nous jeter avec confiance à vos pieds, et de vous adresser nos demandes et nos prières.
O Vierge glorieuse, notre bonne patronne ! Animez-nous tous du zèle de notre sanctification, et du désir d’imiter vos vertus ; soutenez-nous dans les tentations, consolez-nous dans nos peines ; ne cessez de veiller sur nous, pour détourner de dessus nos têtes les châtiments du Seigneur, et écarter de nous les dangers du salut ; assistez-nous enfin à l’heure de notre mort, et soyez notre avocate auprès du juge éternel, afin qu’après vous avoir honorée sur la terre, nous puissions aller chanter vos louanges dans le ciel. Ainsi soit-il.
Premier jour de la neuvaine – Mort de la Sainte Vierge
Sg 1,3 : « Les âmes des justes sont dans la main de Dieu, et le tourment de la mort ne les touchera point. »
C’est à Marie que convient pleinement cet oracle de l’Esprit Saint : Dans Marie, il règne un accord que le péché n’a jamais troublé ; et sa mort est en conséquence de sa naissance toute pure et de sa vie sans tache ; elle a accompli sa haute destinée avec une perfection sublime ; sa vie a été un acte continuel de charité ; et son âme sainte est passée dans le ciel pour y jouir éternellement des délices de l’amour divin.
Depuis l’Ascension de son adorable Fils, elle n’avait cessé de soupirer après le moment qui devait la réunir à lui ; les langueurs de l’épouse des cantiques en l’absence de l’époux, les souhaits ardents que les patriarches et les prophètes avaient de voir le Messie, et les désirs embrasés de tous les saints de la nouvelle loi pour Dieu et pour le ciel, ne sont que de faibles images de ceux de cette véritable Israélite, de l’épouse du Saint-Esprit, de la Mère de Jésus- Christ !
O Marie ! Maintenant que vous régnez dans la vraie Jérusalem, ô vous qui avez si bien compris et la grandeur du ciel, et la petitesse de la terre, la plénitude de l’amour de Dieu et le vide de l’amour des créatures, obtenez-moi de comprendre enfin que ma destinée sur la terre est de vivre dans l’amour de Dieu, et d’y mourir pour l’aimer à jamais.
Fais, ô notre sainte Patronne ! Que mes regards se portent sans cesse vers le ciel ; que s’ils retombent sur la terre, ce ne soit que pour la considérer, comme les Israélites exilés considéraient Babylone. Ne me laissez pas avilir mon cœur, oublier ma patrie et redouter l’instant qui doit m’y porter.
Il est dit de la femme forte qu’« elle rira au dernier jour » (Pr 31,35). Que je puisse, ô Marie ! Par votre intercession, éprouver comme vous la vérité de ces paroles, et passer de la paix des justes à la joie éternelle des saints !
O Marie, intercède pour tous les agonisants. Assiste chacun de nous à l’heure de notre mort. Que tous se souviennent de ta bonté, de l’infinie miséricorde de notre Père des Cieux. Que tous se souviennent que toutes les fautes, si graves soient-elles, peuvent être pardonnées si l’on éprouve le repentir, car l’Amour de Dieu est plus grand que les plus grands péchés. Quand arrivera ma dernière heure sur cette terre d’exil, où que ce soit, sois là O Marie.
Jour 2
Prières quotidiennes
Au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen. Je crois en Dieu
Je serai à l’égard d’Israël comme une rosée (Os 14,6), disait le Seigneur par un prophète, en parlant du peuple chéri : les coups de la justice du Seigneur pourraient-ils nous atteindre, vous ayant pour rempart, ô vous qui êtes sa Mère ! Et n’avons-nous pas en vous le gage des plus abondantes bénédictions ?
Cœur Immaculé de Marie, pleine d’amour pour Dieu et l’humanité, et de la compassion pour les pécheurs, je me consacre entièrement à vous. Je vous confie le salut de mon âme. Que mon cœur soit toujours uni au vôtre, afin que je puisse haïr le péché, aimer Dieu et mon prochain, pour gagner la vie éternelle avec ceux que j’aime.
Médiatrice de toutes grâces et Mère de Miséricorde, souvenez-vous du trésor infini que votre divin Fils a mérité par sa souffrance et qu’il vous a confié pour nous, vos enfants. Rempli de confiance en votre cœur maternel, et pour le bien du Sacré-Cœur de Jésus, obtenez-moi la grâce que je demande: [Indiquer votre demande…].
Chère maman, si ce que je demande ne devait pas être conforme à la volonté de Dieu, priez pour que je puisse recevoir ce qui sera plus avantageux pour mon âme. Puis-je connaître la bonté de votre intercession auprès de Jésus au cours de la vie et à l’heure de ma mort?
Vous êtes après Dieu toute notre espérance ; c’est à vous que nous avons recours dans nos tentations, nos maladies, nos dangers, nos afflictions, nos entreprises, dans toutes nos nécessités ; justes et pécheurs, grands et petits, savants et ignorants, tous nous allons à vous ; ne cessez point d’attirer sur nous les bienfaits du Seigneur ; faites-y descendre la rosée de la grâce, qu’elle convertisse les pécheurs, qu’elle donne de la vigueur aux tièdes, qu’elle fasse croître et persévérer les justes.
Sainte Mère de Dieu, l’Eglise célèbre la mémoire de votre glorieuse Assomption, et remercie le ciel de la gloire et des honneurs qu’il vous a prodigués grâce à vos incomparables vertus. C’est bien aujourd’hui que « toutes les nations doivent vous appeler bienheureuse, parce que le Seigneur a fait en vous de grandes choses » (Lc 1, 48-49), et qu’il est convenable de vous saluer avec l’ange : « Pleine de grâces et bénie entre toutes les femmes » (Lc, 1,28).
Laissez-nous donc, ô Marie, unir nos hommages à ceux de l’Eglise ; acceptez notre amour avec le sien, et comme elle, permettez-nous de nous jeter avec confiance à vos pieds, et de vous adresser nos demandes et nos prières.
O Vierge glorieuse, notre bonne patronne ! Animez-nous tous du zèle de notre sanctification, et du désir d’imiter vos vertus ; soutenez-nous dans les tentations, consolez-nous dans nos peines ; ne cessez de veiller sur nous, pour détourner de dessus nos têtes les châtiments du Seigneur, et écarter de nous les dangers du salut ; assistez-nous enfin à l’heure de notre mort, et soyez notre avocate auprès du juge éternel, afin qu’après vous avoir honorée sur la terre, nous puissions aller chanter vos louanges dans le ciel. Ainsi soit-il.
Deuxième jour de la neuvaine – Assomption de la Sainte Vierge
Ps 15,10 : « Vous ne permettrez pas que votre saint éprouve la corruption. »
Si pour honorer la sainteté sur la terre, Dieu permet quelquefois que les corps des saints soient préservés de la corruption durant les siècles, que ne devait-il pas à la sainteté de Marie, dont la chair très pure a servi à la formation de l’agneau sans tache ? La mère de celui qui « est la résurrection et la vie » (Jn 11,25), pouvait-elle rester sous l’empire de la mort ?
Cette arche sainte, après avoir erré longtemps dans le désert, et sous des tentes pauvres, est introduite avec pompe dans la vraie Jérusalem, et reçue dans les tabernacles éternels: le prophète Elie, comme son précurseur, avait tracé sa route céleste avec son char de feu.
O Vierge triomphante ! Tracez-nous la nôtre, et tendez-nous la main ; ne nous laissez pas arrêter aux satisfactions basses et terrestres auxquelles notre misérable nature nous porte sans cesse ; ô vous qui, par un privilège spécial, ne vous êtes jamais ressentie de la chute d’Adam, secourez-nous dans la faiblesse qu’elle nous a laissée !
C’est après avoir écrasé la tête du séducteur d’Eve, que vous avez été enlevée au ciel ; et ce n’est qu’après l’avoir foulé aux pieds que nous pouvons y être admis. C’est de votre main, très sainte Patronne, que nous attendons la palme de la victoire. C’est vous qui nous réveillerez au tombeau au jour de la résurrection générale, pour que nos corps entrent aussi en possession de la gloire éternelle.
Mère de miséricorde, daignez avoir pitié de ceux qui sont ensevelis dans le péché, et qui dorment dans sa corruption ; éveillez-les dès ce jour, afin que nous puissions tous ensemble, joignant nos acclamations à celles des esprits bienheureux, célébrer éternellement dans le ciel votre triomphe et vos grandeurs.
Marie, Sainte Marie, Fille tant aimée du Père Créateur tout-puissant ; Mère de Jésus, mon Sauveur, le Fils de Dieu ; Epouse fidèle de l’Esprit Saint. Marie élevée au Ciel en corps et âme, partageant la Gloire de ton Fils auprès du Père Eternel. Marie, Reine des Anges et des Saints, Reine du Ciel et de la Terre, Marie, Mère de Jésus, Mère de l’Eglise du Christ, ma Mère, devant toi je m’incline, je te loue et t’acclame : « Sainte Marie, Mère de Dieu.
Jour 3
Prières quotidiennes
Au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen. Je crois en Dieu
Je serai à l’égard d’Israël comme une rosée (Os 14,6), disait le Seigneur par un prophète, en parlant du peuple chéri : les coups de la justice du Seigneur pourraient-ils nous atteindre, vous ayant pour rempart, ô vous qui êtes sa Mère ! Et n’avons-nous pas en vous le gage des plus abondantes bénédictions ?
Cœur Immaculé de Marie, pleine d’amour pour Dieu et l’humanité, et de la compassion pour les pécheurs, je me consacre entièrement à vous. Je vous confie le salut de mon âme. Que mon cœur soit toujours uni au vôtre, afin que je puisse haïr le péché, aimer Dieu et mon prochain, pour gagner la vie éternelle avec ceux que j’aime.
Médiatrice de toutes grâces et Mère de Miséricorde, souvenez-vous du trésor infini que votre divin Fils a mérité par sa souffrance et qu’il vous a confié pour nous, vos enfants. Rempli de confiance en votre cœur maternel, et pour le bien du Sacré-Cœur de Jésus, obtenez-moi la grâce que je demande: [Indiquer votre demande…].
Chère maman, si ce que je demande ne devait pas être conforme à la volonté de Dieu, priez pour que je puisse recevoir ce qui sera plus avantageux pour mon âme. Puis-je connaître la bonté de votre intercession auprès de Jésus au cours de la vie et à l’heure de ma mort?
Vous êtes après Dieu toute notre espérance ; c’est à vous que nous avons recours dans nos tentations, nos maladies, nos dangers, nos afflictions, nos entreprises, dans toutes nos nécessités ; justes et pécheurs, grands et petits, savants et ignorants, tous nous allons à vous ; ne cessez point d’attirer sur nous les bienfaits du Seigneur ; faites-y descendre la rosée de la grâce, qu’elle convertisse les pécheurs, qu’elle donne de la vigueur aux tièdes, qu’elle fasse croître et persévérer les justes.
Sainte Mère de Dieu, l’Eglise célèbre la mémoire de votre glorieuse Assomption, et remercie le ciel de la gloire et des honneurs qu’il vous a prodigués grâce à vos incomparables vertus. C’est bien aujourd’hui que « toutes les nations doivent vous appeler bienheureuse, parce que le Seigneur a fait en vous de grandes choses » (Lc 1, 48-49), et qu’il est convenable de vous saluer avec l’ange : « Pleine de grâces et bénie entre toutes les femmes » (Lc, 1,28).
Laissez-nous donc, ô Marie, unir nos hommages à ceux de l’Eglise ; acceptez notre amour avec le sien, et comme elle, permettez-nous de nous jeter avec confiance à vos pieds, et de vous adresser nos demandes et nos prières.
O Vierge glorieuse, notre bonne patronne ! Animez-nous tous du zèle de notre sanctification, et du désir d’imiter vos vertus ; soutenez-nous dans les tentations, consolez-nous dans nos peines ; ne cessez de veiller sur nous, pour détourner de dessus nos têtes les châtiments du Seigneur, et écarter de nous les dangers du salut ; assistez-nous enfin à l’heure de notre mort, et soyez notre avocate auprès du juge éternel, afin qu’après vous avoir honorée sur la terre, nous puissions aller chanter vos louanges dans le ciel. Ainsi soit-il.
Troisième jour de la neuvaine – Couronnement de la Sainte Vierge
Pr 11,16 : « La femme modeste sera élevée en gloire. »
Jésus dit : « L’œil humain ne peut fixer le soleil, tandis qu’il peut regarder la lune. L’œil de l’âme ne peut fixer la perfection de Dieu telle qu’elle est. Mais il peut regarder la perfection de Marie.
Marie est comme la lune par rapport au soleil. Elle en est éclairée et elle réfléchit sur vous la lumière qui l’a éclairée, mais en l’adoucissant de ces vapeurs mystiques qui la rendent supportable à votre nature limitée. C’est pour cela que, depuis des siècles, je la propose comme modèle à vous tous que j’ai voulus pour frères, justement en Marie.
ElleestlaMère.Quelledouceurpourlesenfantsquederegarder lamère!Jevousl’aidonnéepourcela, pour que vous puissiez avoir une douce Majesté dont la splendeur vous ravisse, mais sans vous éblouir. C’est seulement à des âmes spéciales, que j’ai choisies pour des raisons sans appel, que je me suis montré dans tout mon éclat de Dieu Homme, d’intelligence et de perfection absolue. Mais avec ce don, j’ai dû leur en faire un autre qui les rende capables de supporter ma connaissance sans en être anéanties.
Tandis que Marie, vous pouvez tous la regarder. Non pas parce qu’elle est semblable à vous. Oh ! Non ! Sa pureté est si haute que moi, son Fils, la traite avec vénération. Sa perfection est telle que le Paradis tout entier s’incline devant son trône sur lequel descendent l’éternel sourire et l’éternelle splendeur de Notre Trinité. Mais cette splendeur, qui l’imprègne et la divinise plus que toute autre créature, est tamisée par la blancheur éclatante des voiles de sa chair immaculée, de sorte qu’elle rayonne comme une étoile, recueillant toute la lumière de Dieu et la diffusant telle une douce luminosité sur tous les êtres.
Et puis elle est éternellement votre Mère. Et de la mère, elle possède la pitié qui excuse, qui intercède, qui forme patiemment. Grande est la joie de Marie lorsqu’elle peut dire à celui qui l’aime : « Aime mon Fils » ; grande est ma joie lorsque je peux dire à celui qui m’aime : « Aime ma Mère ». Et très grande est notre joie lorsque nous voyons l’un d’entre vous qui, se détachant de mes pieds, va à Marie, ou un autre qui, se détachant du sein de Marie, vient à moi. Car la Mère se réjouit de donner au Fils d’autres personnes remplies d’amour pou lui, et le Fils se réjouit de voir sa Mère aimée par d’autres. Notre gloire ne cherche pas à écraser, mais se complète dans la gloire de l’autre. » (Cahiers de Maria Valtorta, 1943, p.107)
C’est par une grande distinction pour Marie, que le Seigneur lui a donné pour partage en ce monde l’abaissement et la pauvreté : les grandeurs humaines étaient trop petites pour la Mère de Dieu, l’élévation de la terre trop basse pour la Reine du ciel. Il faut être grand pour obtenir les honneurs de la terre ; être petit est un titre pour avoir ceux du ciel ; plus on s’abaisse, plus on acquiert de faveurs célestes et de droits aux plus brillantes couronnes. Marie entrant parfaitement dans les vues de Dieu, s’est humiliée très profondément ; aussi il a relevé la bassesse de sa servante (Lc 1,48), par un privilège unique et le plus glorieux qui fût jamais, la faisant mère du Sauveur.
O Vierge dont l’humilité égale la grandeur et le mérite ! Présentez-vous au Roi des rois qui range des étoiles pour former votre diadème. Mais sur votre trône souvenez-vous de moi, dont l’orgueil surpasse la misère.
Courageuse Judith, donnez-moi la force d’abattre ce tyran qui me ferme les voies du ciel. Ne m’abandonnez pas à la séduction de la gloire de ce monde qui me ravirait celle de l’éternité ; inspirez-moi des sentiments conformes à ceux qui vous animaient sur cette terre.
Vierge Marie, ce qu’Il désire, tu le désires ardemment. Ce qu’Il demande, tu le Lui accordes entièrement, immédiatement, sans restriction, sans hésitation, généreusement, de tout ton cœur et de toute ton âme. Le Seigneur est avec toi, le Seigneur est en toi et demeurera toujours en toi car tu es et sera toujours uniquement à Lui. Il t’a accompagnée tout au long de ta vie terrestre. Il t’a appelée à vivre avec Lui en corps et en âme dans sa Gloire pour l’Eternité.
Jour 4
Prières quotidiennes
Au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen. Je crois en Dieu
Je serai à l’égard d’Israël comme une rosée (Os 14,6), disait le Seigneur par un prophète, en parlant du peuple chéri : les coups de la justice du Seigneur pourraient-ils nous atteindre, vous ayant pour rempart, ô vous qui êtes sa Mère ! Et n’avons-nous pas en vous le gage des plus abondantes bénédictions ?
Cœur Immaculé de Marie, pleine d’amour pour Dieu et l’humanité, et de la compassion pour les pécheurs, je me consacre entièrement à vous. Je vous confie le salut de mon âme. Que mon cœur soit toujours uni au vôtre, afin que je puisse haïr le péché, aimer Dieu et mon prochain, pour gagner la vie éternelle avec ceux que j’aime.
Médiatrice de toutes grâces et Mère de Miséricorde, souvenez-vous du trésor infini que votre divin Fils a mérité par sa souffrance et qu’il vous a confié pour nous, vos enfants. Rempli de confiance en votre cœur maternel, et pour le bien du Sacré-Cœur de Jésus, obtenez-moi la grâce que je demande: [Indiquer votre demande…].
Chère maman, si ce que je demande ne devait pas être conforme à la volonté de Dieu, priez pour que je puisse recevoir ce qui sera plus avantageux pour mon âme. Puis-je connaître la bonté de votre intercession auprès de Jésus au cours de la vie et à l’heure de ma mort?
Vous êtes après Dieu toute notre espérance ; c’est à vous que nous avons recours dans nos tentations, nos maladies, nos dangers, nos afflictions, nos entreprises, dans toutes nos nécessités ; justes et pécheurs, grands et petits, savants et ignorants, tous nous allons à vous ; ne cessez point d’attirer sur nous les bienfaits du Seigneur ; faites-y descendre la rosée de la grâce, qu’elle convertisse les pécheurs, qu’elle donne de la vigueur aux tièdes, qu’elle fasse croître et persévérer les justes.
Sainte Mère de Dieu, l’Eglise célèbre la mémoire de votre glorieuse Assomption, et remercie le ciel de la gloire et des honneurs qu’il vous a prodigués grâce à vos incomparables vertus. C’est bien aujourd’hui que « toutes les nations doivent vous appeler bienheureuse, parce que le Seigneur a fait en vous de grandes choses » (Lc 1, 48-49), et qu’il est convenable de vous saluer avec l’ange : « Pleine de grâces et bénie entre toutes les femmes » (Lc, 1,28).
Laissez-nous donc, ô Marie, unir nos hommages à ceux de l’Eglise ; acceptez notre amour avec le sien, et comme elle, permettez-nous de nous jeter avec confiance à vos pieds, et de vous adresser nos demandes et nos prières.
O Vierge glorieuse, notre bonne patronne ! Animez-nous tous du zèle de notre sanctification, et du désir d’imiter vos vertus ; soutenez-nous dans les tentations, consolez-nous dans nos peines ; ne cessez de veiller sur nous, pour détourner de dessus nos têtes les châtiments du Seigneur, et écarter de nous les dangers du salut ; assistez-nous enfin à l’heure de notre mort, et soyez notre avocate auprès du juge éternel, afin qu’après vous avoir honorée sur la terre, nous puissions aller chanter vos louanges dans le ciel. Ainsi soit-il.
Quatrième jour de la neuvaine – Marie, Reine des Patriarches et des Prophètes
« Elle recevra des louanges parmi la multitude des élus, et sera bénie de ceux qui sont bénis de Dieu. »
(Si 24,4)
Comme les justes d’Israël, Marie avait souvent conjuré les cieux de se changer en une douce rosée (Is 45,8), et avait appelé de tous ses vœux le désiré des collines éternelles. Sa charité plus grande lui faisait souhaiter la venue du Messie bien plus ardemment encore et d’une manière plus parfaite que tous les patriarches et les prophètes. Sa foi et sa sagesse ont surpassé celle de Sara, de Rebecca et de toutes les saintes femmes qui l’avaient précédée. La grande foi même d’Abraham n’a point égalé la sienne : s’il attendit une nombreuse postérité d’un fils qu’il allait immoler, Marie crut pleinement aux paroles de l’ange qui lui annonçait que vierge elle serait mère du Messie, et elle ne laissa jamais de le reconnaître dans un enfant faible et persécuté, dans un homme semblable aux autres hommes mais mourant sur une croix.
« Vous êtes bienheureuse, Marie, d’avoir cru » (Lc 1,45), car de grandes choses ont été accomplies en vous.
O Reine des croyants, maîtresse de la foi ! Enseignez-nous, à nous qui vous sommes spécialement confiés, une foi vive semblable à la vôtre ; éclairez tant d’aveugles qui s’obstinent à méconnaître Jésus et sa doctrine. Affermissez les chancelants, préservez-nous de l’erreur ; soyez notre soutien dans les épreuves, notre flambeau dans les ténèbres ; conduisez-nous, très Sainte Patronne, à la claire vision de ce que nous aurons cru, et à la possession de ce que nous aurons espéré.
Marie, Jésus nous a confiés à toi, sa Mère, et a fait de toi notre Mère. Par la désobéissance et l’orgueil du premier homme, le péché et la mort sont entrés dans le monde. Par Jésus ton Fils, O Marie, le péché et la mort ont été vaincus. Au prix de son Sang, Il nous a rendu la Vie et a tout accompli pour la Gloire de son Père. Tous les enfants d’Eve sont pécheurs, mais Jésus est venu en ce monde pour les sauver et te les a confiés.
Jour 5
Prières quotidiennes
Au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen. Je crois en Dieu
Je serai à l’égard d’Israël comme une rosée (Os 14,6), disait le Seigneur par un prophète, en parlant du peuple chéri : les coups de la justice du Seigneur pourraient-ils nous atteindre, vous ayant pour rempart, ô vous qui êtes sa Mère ! Et n’avons-nous pas en vous le gage des plus abondantes bénédictions ?
Cœur Immaculé de Marie, pleine d’amour pour Dieu et l’humanité, et de la compassion pour les pécheurs, je me consacre entièrement à vous. Je vous confie le salut de mon âme. Que mon cœur soit toujours uni au vôtre, afin que je puisse haïr le péché, aimer Dieu et mon prochain, pour gagner la vie éternelle avec ceux que j’aime.
Médiatrice de toutes grâces et Mère de Miséricorde, souvenez-vous du trésor infini que votre divin Fils a mérité par sa souffrance et qu’il vous a confié pour nous, vos enfants. Rempli de confiance en votre cœur maternel, et pour le bien du Sacré-Cœur de Jésus, obtenez-moi la grâce que je demande: [Indiquer votre demande…].
Chère maman, si ce que je demande ne devait pas être conforme à la volonté de Dieu, priez pour que je puisse recevoir ce qui sera plus avantageux pour mon âme. Puis-je connaître la bonté de votre intercession auprès de Jésus au cours de la vie et à l’heure de ma mort?
Vous êtes après Dieu toute notre espérance ; c’est à vous que nous avons recours dans nos tentations, nos maladies, nos dangers, nos afflictions, nos entreprises, dans toutes nos nécessités ; justes et pécheurs, grands et petits, savants et ignorants, tous nous allons à vous ; ne cessez point d’attirer sur nous les bienfaits du Seigneur ; faites-y descendre la rosée de la grâce, qu’elle convertisse les pécheurs, qu’elle donne de la vigueur aux tièdes, qu’elle fasse croître et persévérer les justes.
Sainte Mère de Dieu, l’Eglise célèbre la mémoire de votre glorieuse Assomption, et remercie le ciel de la gloire et des honneurs qu’il vous a prodigués grâce à vos incomparables vertus. C’est bien aujourd’hui que « toutes les nations doivent vous appeler bienheureuse, parce que le Seigneur a fait en vous de grandes choses » (Lc 1, 48-49), et qu’il est convenable de vous saluer avec l’ange : « Pleine de grâces et bénie entre toutes les femmes » (Lc, 1,28).
Laissez-nous donc, ô Marie, unir nos hommages à ceux de l’Eglise ; acceptez notre amour avec le sien, et comme elle, permettez-nous de nous jeter avec confiance à vos pieds, et de vous adresser nos demandes et nos prières.
O Vierge glorieuse, notre bonne patronne ! Animez-nous tous du zèle de notre sanctification, et du désir d’imiter vos vertus ; soutenez-nous dans les tentations, consolez-nous dans nos peines ; ne cessez de veiller sur nous, pour détourner de dessus nos têtes les châtiments du Seigneur, et écarter de nous les dangers du salut ; assistez-nous enfin à l’heure de notre mort, et soyez notre avocate auprès du juge éternel, afin qu’après vous avoir honorée sur la terre, nous puissions aller chanter vos louanges dans le ciel. Ainsi soit-il.
Cinquième jour de la neuvaine – Marie, Reine des Martyrs
Ps 93,19 : « Vos consolations ont rempli de joie mon âme à proportion du grand nombre de douleurs qui
ont pénétré mon cœur ».
La plus belle palme du martyre était bien due à Marie, quoiqu’elle n’ait pas, comme les saints martyrs, perdu la vie pour confesser Jésus-Christ ; mais, mère du chef des martyrs, elle a vu ses tourments, ses opprobres ; elle l’a vu mourir, et un glaive l’a immolée elle-même intérieurement.
Les disciples abandonnèrent le Sauveur quand ils le virent aller au supplice. Mais Marie, cette femme forte, le suit au Calvaire. Elle y recueille avec ses derniers soupirs la palme glorieuse des confesseurs de la foi.
O Reine des martyrs, Mère plus généreuse encore que cette mère dont il est parlé au livre des Macchabées (2 M 7,20) ! Encouragez vos enfants à être fidèles à la foi de Jésus-Christ. Encouragez-nous à tout souffrir plutôt que de l’abandonner ; aidez-nous à subir avec résignation les peines multipliées qui font de la vie un lent martyre ; soutenez-nous partout dans le combat des passions, et faites que nous nous souvenions incessamment que la mesure de nos jouissances éternelles sera proportionnée à celle de nos douleurs bien endurées.
Aidez-nous encore, ô tendre Mère ! A l’heure de la consommation de notre martyre, afin que nous puissions être admis dans l’assemblée sainte de tous ceux qui auront souffert pour l’amour et dans l’amour de Jésus-Christ.
Jour 6
Prières quotidiennes
Au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen. Je crois en Dieu
Je serai à l’égard d’Israël comme une rosée (Os 14,6), disait le Seigneur par un prophète, en parlant du peuple chéri : les coups de la justice du Seigneur pourraient-ils nous atteindre, vous ayant pour rempart, ô vous qui êtes sa Mère ! Et n’avons-nous pas en vous le gage des plus abondantes bénédictions ?
Cœur Immaculé de Marie, pleine d’amour pour Dieu et l’humanité, et de la compassion pour les pécheurs, je me consacre entièrement à vous. Je vous confie le salut de mon âme. Que mon cœur soit toujours uni au vôtre, afin que je puisse haïr le péché, aimer Dieu et mon prochain, pour gagner la vie éternelle avec ceux que j’aime.
Médiatrice de toutes grâces et Mère de Miséricorde, souvenez-vous du trésor infini que votre divin Fils a mérité par sa souffrance et qu’il vous a confié pour nous, vos enfants. Rempli de confiance en votre cœur maternel, et pour le bien du Sacré-Cœur de Jésus, obtenez-moi la grâce que je demande: [Indiquer votre demande…].
Chère maman, si ce que je demande ne devait pas être conforme à la volonté de Dieu, priez pour que je puisse recevoir ce qui sera plus avantageux pour mon âme. Puis-je connaître la bonté de votre intercession auprès de Jésus au cours de la vie et à l’heure de ma mort?
Vous êtes après Dieu toute notre espérance ; c’est à vous que nous avons recours dans nos tentations, nos maladies, nos dangers, nos afflictions, nos entreprises, dans toutes nos nécessités ; justes et pécheurs, grands et petits, savants et ignorants, tous nous allons à vous ; ne cessez point d’attirer sur nous les bienfaits du Seigneur ; faites-y descendre la rosée de la grâce, qu’elle convertisse les pécheurs, qu’elle donne de la vigueur aux tièdes, qu’elle fasse croître et persévérer les justes.
Sainte Mère de Dieu, l’Eglise célèbre la mémoire de votre glorieuse Assomption, et remercie le ciel de la gloire et des honneurs qu’il vous a prodigués grâce à vos incomparables vertus. C’est bien aujourd’hui que « toutes les nations doivent vous appeler bienheureuse, parce que le Seigneur a fait en vous de grandes choses » (Lc 1, 48-49), et qu’il est convenable de vous saluer avec l’ange : « Pleine de grâces et bénie entre toutes les femmes » (Lc, 1,28).
Laissez-nous donc, ô Marie, unir nos hommages à ceux de l’Eglise ; acceptez notre amour avec le sien, et comme elle, permettez-nous de nous jeter avec confiance à vos pieds, et de vous adresser nos demandes et nos prières.
O Vierge glorieuse, notre bonne patronne ! Animez-nous tous du zèle de notre sanctification, et du désir d’imiter vos vertus ; soutenez-nous dans les tentations, consolez-nous dans nos peines ; ne cessez de veiller sur nous, pour détourner de dessus nos têtes les châtiments du Seigneur, et écarter de nous les dangers du salut ; assistez-nous enfin à l’heure de notre mort, et soyez notre avocate auprès du juge éternel, afin qu’après vous avoir honorée sur la terre, nous puissions aller chanter vos louanges dans le ciel. Ainsi soit-il.
Sixième jour de la neuvaine – Marie, Femme eucharistique
Jésus dit : « Pour obtenir les véritables fruits de l’Eucharistie, il ne faut pas la considérer comme un épisode qui se répète à des moments plus ou moins éloignés, mais en faire la pensée de base de sa vie. VivreenpensantàMoiEucharistiequim’apprêteàvenir ouquisuisenvous,faisantdecetterencontreun présent continu qui dure aussi longtemps que dure votre vie. Ne pas vous séparer de moi dans votre esprit, œuvrer dans le rayon qui jaillit de l’Eucharistie, ne jamais sortir de son orbite comme des planètes qui tournent autour du soleil et vivent grâce à lui.
En cela aussi je te propose Marie comme modèle. Son union avec moi doit être le modèle de ton union avec moi. La vie de Marie, ma Mère, fut entièrement eucharistique.
Si Eucharistie signifie communion, Marie vécut eucharistiquement pendant presque toute sa vie. Car j’étais en ma Mère avant d’être au monde comme homme. Et je ne cessai point d’être en elle lorsque je ne fus plus de ce monde comme homme. Nous ne sommes plus séparés du moment où l’obéissance fut sanctifiée jusqu’à la hauteur de Dieu et où je devins chair dans son sein si pur que les anges, en comparaison, le sont moins, si saint qu’aucun ciboire pour m’accueillir n’est tel.
Seulement dans le sein de Dieu y a-t-il une sainteté plus parfaite que celle de Marie. Elle est, après le Dieu Unique en Trois Personnes, la Sainte des saints.
Nous ne sommes jamais séparés. Elle aspirait à moi, avec toute la force de son cœur virginal et immaculé, en attendant le Messie qui avait été promis. Communion très pure de désir qui m’attirait des profondeurs du ciel. Communion encore plus vive du moment de la bienheureuse Annonciation jusqu’à l’heure de ma mort sur la croix.
Nos esprits étaient toujours unis par l’amour. Communion d’amour très intense et d’immense douleur pendant mon martyre et aux jours de ma sépulture. Communion eucharistique après la glorieuse Résurrection et l’Ascension, jusqu’à l’Assomption qui fut l’éternelle union de la Mère et du Fils divin.
Marie fut l’âme eucharistique parfaite. Elle savait retenir son Dieu par un amour ardent, une pureté super angélique, une adoration continue. Comment aurais-je pu me séparer de ce cœur qui vivait de moi ? Je restais même après la consommation des espèces.
Les paroles que je dis à ma Mère pendant les trente-trois ans où je fus son fils sur la terre ne sont rien comparées aux entretiens que Je-Eucharistie eut avec Elle-ciboire. Mais ces paroles-là sont trop divines et trop pures pour qu’esprit humain puisse les connaître et bouche humaine les répéter. Dans le temple de Jérusalem, seul le prêtre entrait dans le Saint des Saints où se trouvait l’Arche du Seigneur. Mais dans le temple de la Jérusalem céleste, moi seul, Dieu, j’entre et connais les secrets de l’Arche très sainte qu’est Marie, ma Mère. »
(Maria Valtorta, cahiers 1943, p.90)
Tu es, Sainte Marie, toute puissante sur le Cœur de Dieu. Ta prière est toujours écoutée avec bienveillance et exaucée car elle monte vers le Père avec tant de pureté, d’ardeur et toujours pour le bien de toutes les âmes qu’il faut amener au Seigneur. Marie, Corédemptrice, Marie Médiatrice de toutes les grâces, prie pour moi pauvre pécheur
Jour 7
Prières quotidiennes
Au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen. Je crois en Dieu
Je serai à l’égard d’Israël comme une rosée (Os 14,6), disait le Seigneur par un prophète, en parlant du peuple chéri : les coups de la justice du Seigneur pourraient-ils nous atteindre, vous ayant pour rempart, ô vous qui êtes sa Mère ! Et n’avons-nous pas en vous le gage des plus abondantes bénédictions ?
Cœur Immaculé de Marie, pleine d’amour pour Dieu et l’humanité, et de la compassion pour les pécheurs, je me consacre entièrement à vous. Je vous confie le salut de mon âme. Que mon cœur soit toujours uni au vôtre, afin que je puisse haïr le péché, aimer Dieu et mon prochain, pour gagner la vie éternelle avec ceux que j’aime.
Médiatrice de toutes grâces et Mère de Miséricorde, souvenez-vous du trésor infini que votre divin Fils a mérité par sa souffrance et qu’il vous a confié pour nous, vos enfants. Rempli de confiance en votre cœur maternel, et pour le bien du Sacré-Cœur de Jésus, obtenez-moi la grâce que je demande: [Indiquer votre demande…].
Chère maman, si ce que je demande ne devait pas être conforme à la volonté de Dieu, priez pour que je puisse recevoir ce qui sera plus avantageux pour mon âme. Puis-je connaître la bonté de votre intercession auprès de Jésus au cours de la vie et à l’heure de ma mort?
Vous êtes après Dieu toute notre espérance ; c’est à vous que nous avons recours dans nos tentations, nos maladies, nos dangers, nos afflictions, nos entreprises, dans toutes nos nécessités ; justes et pécheurs, grands et petits, savants et ignorants, tous nous allons à vous ; ne cessez point d’attirer sur nous les bienfaits du Seigneur ; faites-y descendre la rosée de la grâce, qu’elle convertisse les pécheurs, qu’elle donne de la vigueur aux tièdes, qu’elle fasse croître et persévérer les justes.
Sainte Mère de Dieu, l’Eglise célèbre la mémoire de votre glorieuse Assomption, et remercie le ciel de la gloire et des honneurs qu’il vous a prodigués grâce à vos incomparables vertus. C’est bien aujourd’hui que « toutes les nations doivent vous appeler bienheureuse, parce que le Seigneur a fait en vous de grandes choses » (Lc 1, 48-49), et qu’il est convenable de vous saluer avec l’ange : « Pleine de grâces et bénie entre toutes les femmes » (Lc, 1,28).
Laissez-nous donc, ô Marie, unir nos hommages à ceux de l’Eglise ; acceptez notre amour avec le sien, et comme elle, permettez-nous de nous jeter avec confiance à vos pieds, et de vous adresser nos demandes et nos prières.
O Vierge glorieuse, notre bonne patronne ! Animez-nous tous du zèle de notre sanctification, et du désir d’imiter vos vertus ; soutenez-nous dans les tentations, consolez-nous dans nos peines ; ne cessez de veiller sur nous, pour détourner de dessus nos têtes les châtiments du Seigneur, et écarter de nous les dangers du salut ; assistez-nous enfin à l’heure de notre mort, et soyez notre avocate auprès du juge éternel, afin qu’après vous avoir honorée sur la terre, nous puissions aller chanter vos louanges dans le ciel. Ainsi soit-il.
Septième jour de la neuvaine – Marie, Refuge des pécheurs
Lm 3,57 : « Vous vous êtes approchés de moi aux jours où je vous ai invoqué ; vous avez dit : Ne craignez point.»
Ces paroles d’espérance que le prophète Jérémie met dans la bouche des habitants de Jérusalem après sa désolation, les pécheurs peuvent se les appliquer lorsqu’après la ruine de leurs âmes ils recourent à la Sainte Vierge, qui pour n’avoir jamais péché, n’en n’est pas moins disposée à les recevoir avec bonté.
Mère du Dieu de miséricorde mort pour les péchés du monde, elle est aussi la mère des pécheurs ; le Sauveur lui a confié le soin de les recueillir, comme un soin digne de son cœur très charitable.
Consolatrice des affligés, elle se plaît surtout à essuyer les larmes du repentir, ou plutôt elle les fait couler plus abondamment, et leur donne de la douceur par l’espérance. Dieu dont la miséricorde est infinie, ne rejette aucun pécheur ; mais ceux qui lui sont présentés par sa sainte Mère doivent être plutôt pardonnés.
Si le prodigue de l’Evangile hésita avant de retourner à la maison paternelle, sans doute il n’avait point sa mère.
O refuge des pécheurs ! Je me jette entre vos bras, misérable prodigue, qui me suis plus ou moins éloigné de la maison du Père céleste, et j’ai dissipé les biens de la grâce ; daignez me présenter à lui, m’obtenir une nouvelle robe d’innocence, me faire renouveler avec lui l’alliance de mon baptême. Que la réception de l’agneau sans tache soit le festin qui solennise mon retour pour jamais ; que le ciel se réjouisse à mon sujet, et que je puisse par votre intercession y faire une fête éternelle.
O Marie, ma Mère, avec l’ange Gabriel, ta cousine Elisabeth, laissez-moi vous dire chaque jour : « Je vous salue Marie, pleine de Grâce ». Je veux vous écouter et vous ressembler, je veux vous aimer et vous dire MERCI. Voilà ma main, serrez-la bien fort dans la vôtre. Gardez-moi tout contre vous. Marchez avec moi sur le chemin de la Vie pour que je ne m’égare pas et que j’aille où Jésus m’attend. Gardez-moi dans le refuge de votre Cœur Immaculé.
Jour 8
Prières quotidiennes
Au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen. Je crois en Dieu
Je serai à l’égard d’Israël comme une rosée (Os 14,6), disait le Seigneur par un prophète, en parlant du peuple chéri : les coups de la justice du Seigneur pourraient-ils nous atteindre, vous ayant pour rempart, ô vous qui êtes sa Mère ! Et n’avons-nous pas en vous le gage des plus abondantes bénédictions ?
Cœur Immaculé de Marie, pleine d’amour pour Dieu et l’humanité, et de la compassion pour les pécheurs, je me consacre entièrement à vous. Je vous confie le salut de mon âme. Que mon cœur soit toujours uni au vôtre, afin que je puisse haïr le péché, aimer Dieu et mon prochain, pour gagner la vie éternelle avec ceux que j’aime.
Médiatrice de toutes grâces et Mère de Miséricorde, souvenez-vous du trésor infini que votre divin Fils a mérité par sa souffrance et qu’il vous a confié pour nous, vos enfants. Rempli de confiance en votre cœur maternel, et pour le bien du Sacré-Cœur de Jésus, obtenez-moi la grâce que je demande: [Indiquer votre demande…].
Chère maman, si ce que je demande ne devait pas être conforme à la volonté de Dieu, priez pour que je puisse recevoir ce qui sera plus avantageux pour mon âme. Puis-je connaître la bonté de votre intercession auprès de Jésus au cours de la vie et à l’heure de ma mort?
Vous êtes après Dieu toute notre espérance ; c’est à vous que nous avons recours dans nos tentations, nos maladies, nos dangers, nos afflictions, nos entreprises, dans toutes nos nécessités ; justes et pécheurs, grands et petits, savants et ignorants, tous nous allons à vous ; ne cessez point d’attirer sur nous les bienfaits du Seigneur ; faites-y descendre la rosée de la grâce, qu’elle convertisse les pécheurs, qu’elle donne de la vigueur aux tièdes, qu’elle fasse croître et persévérer les justes.
Sainte Mère de Dieu, l’Eglise célèbre la mémoire de votre glorieuse Assomption, et remercie le ciel de la gloire et des honneurs qu’il vous a prodigués grâce à vos incomparables vertus. C’est bien aujourd’hui que « toutes les nations doivent vous appeler bienheureuse, parce que le Seigneur a fait en vous de grandes choses » (Lc 1, 48-49), et qu’il est convenable de vous saluer avec l’ange : « Pleine de grâces et bénie entre toutes les femmes » (Lc, 1,28).
Laissez-nous donc, ô Marie, unir nos hommages à ceux de l’Eglise ; acceptez notre amour avec le sien, et comme elle, permettez-nous de nous jeter avec confiance à vos pieds, et de vous adresser nos demandes et nos prières.
O Vierge glorieuse, notre bonne patronne ! Animez-nous tous du zèle de notre sanctification, et du désir d’imiter vos vertus ; soutenez-nous dans les tentations, consolez-nous dans nos peines ; ne cessez de veiller sur nous, pour détourner de dessus nos têtes les châtiments du Seigneur, et écarter de nous les dangers du salut ; assistez-nous enfin à l’heure de notre mort, et soyez notre avocate auprès du juge éternel, afin qu’après vous avoir honorée sur la terre, nous puissions aller chanter vos louanges dans le ciel. Ainsi soit-il.
Huitième jour de la neuvaine – Marie, Reine des Vierges
Pr 31,29 : « Beaucoup de filles ont amassé des richesses, mais vous les avez toutes surpassées. »
Tandis que la stérilité était une opprobre en Israël, Marie embrasse pour jamais la virginité; elle est la première qui « oublie son peuple et la maison de son père » (Ps 44,11) pour gagner le cœur du Roi des rois, qui, pour prix de son sacrifice, la rend sa fille bien-aimée, l’épouse du Saint- Esprit, la mère de son divin Fils.
Comment mieux exprimer la beauté de cette fleur de Jesse qu’en disant que « l’esprit du Seigneur s’y est reposé » (Is 11, 1-2) ! Dieu trois fois saint s’incarnant en Marie, fait tout l’éloge de son incomparable pureté; elle doit être la première à la suite de l’Agneau, et placée bien haut au- dessus de toutes les vierges, elle qui eût préféré la virginité à la maternité divine, si vierge elle n’avait pu être Mère du Fils de Dieu.
O Reine des vierges, qui avez offert au Seigneur un si beau sacrifice en vous consacrant tout à lui ; si je ne peux imiter votre dévouement de la même manière, faites que du moins je pratique la chasteté selon mon état ; inspirez-moi une vive horreur du vice contraire, arrachez à l’esprit impur tant de malheureuses victimes de cette passion. Mère de la persévérance, assurez-la aux vierges dans leur saint état, et prenez soin de l’innocence de la jeunesse.
O Vierge très chaste ! Obtenez-moi la grâce de résister à la chair, de conserver mon cœur pur, afin que je puisse voir Dieu, et être associé aux anges, aux vierges et à tous les saints.
Marie, vous avez été conçue sans péché. Vous êtes restée Immaculée, sans la moindre souillure.
Marie, Mère de Jésus, chef d’œuvre de la création, la plus belle, la plus délicate, la plus odorante fleur du Paradis.
Pleine de Grâce, refuge sûr, inviolé, inviolable, préparé et attendant de devenir « le Tabernacle vivant du Fils de Dieu ». Cette Grâce, vous l’employez maintenant pour aider tous les enfants de la terre.
Jour 9
Prières quotidiennes
Au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen. Je crois en Dieu
Je serai à l’égard d’Israël comme une rosée (Os 14,6), disait le Seigneur par un prophète, en parlant du peuple chéri : les coups de la justice du Seigneur pourraient-ils nous atteindre, vous ayant pour rempart, ô vous qui êtes sa Mère ! Et n’avons-nous pas en vous le gage des plus abondantes bénédictions ?
Cœur Immaculé de Marie, pleine d’amour pour Dieu et l’humanité, et de la compassion pour les pécheurs, je me consacre entièrement à vous. Je vous confie le salut de mon âme. Que mon cœur soit toujours uni au vôtre, afin que je puisse haïr le péché, aimer Dieu et mon prochain, pour gagner la vie éternelle avec ceux que j’aime.
Médiatrice de toutes grâces et Mère de Miséricorde, souvenez-vous du trésor infini que votre divin Fils a mérité par sa souffrance et qu’il vous a confié pour nous, vos enfants. Rempli de confiance en votre cœur maternel, et pour le bien du Sacré-Cœur de Jésus, obtenez-moi la grâce que je demande: [Indiquer votre demande…].
Chère maman, si ce que je demande ne devait pas être conforme à la volonté de Dieu, priez pour que je puisse recevoir ce qui sera plus avantageux pour mon âme. Puis-je connaître la bonté de votre intercession auprès de Jésus au cours de la vie et à l’heure de ma mort?
Vous êtes après Dieu toute notre espérance ; c’est à vous que nous avons recours dans nos tentations, nos maladies, nos dangers, nos afflictions, nos entreprises, dans toutes nos nécessités ; justes et pécheurs, grands et petits, savants et ignorants, tous nous allons à vous ; ne cessez point d’attirer sur nous les bienfaits du Seigneur ; faites-y descendre la rosée de la grâce, qu’elle convertisse les pécheurs, qu’elle donne de la vigueur aux tièdes, qu’elle fasse croître et persévérer les justes.
Sainte Mère de Dieu, l’Eglise célèbre la mémoire de votre glorieuse Assomption, et remercie le ciel de la gloire et des honneurs qu’il vous a prodigués grâce à vos incomparables vertus. C’est bien aujourd’hui que « toutes les nations doivent vous appeler bienheureuse, parce que le Seigneur a fait en vous de grandes choses » (Lc 1, 48-49), et qu’il est convenable de vous saluer avec l’ange : « Pleine de grâces et bénie entre toutes les femmes » (Lc, 1,28).
Laissez-nous donc, ô Marie, unir nos hommages à ceux de l’Eglise ; acceptez notre amour avec le sien, et comme elle, permettez-nous de nous jeter avec confiance à vos pieds, et de vous adresser nos demandes et nos prières.
O Vierge glorieuse, notre bonne patronne ! Animez-nous tous du zèle de notre sanctification, et du désir d’imiter vos vertus ; soutenez-nous dans les tentations, consolez-nous dans nos peines ; ne cessez de veiller sur nous, pour détourner de dessus nos têtes les châtiments du Seigneur, et écarter de nous les dangers du salut ; assistez-nous enfin à l’heure de notre mort, et soyez notre avocate auprès du juge éternel, afin qu’après vous avoir honorée sur la terre, nous puissions aller chanter vos louanges dans le ciel. Ainsi soit-il.
Neuvième jour de la neuvaine – Marie, Reine de tous les saints
Si 24,3 : « Elle sera élevée au milieu de son peuple, et elle sera admirée dans l’assemblée de tous les saints. »
Jésus dit : « Si l’Eucharistie est le cœur de Dieu, Marie est le ciboire de ce cœur.
Regarde ma Mère, l’éternel ciboire vivant dans lequel descendit le Pain qui vient du Ciel. Quiconque veut me trouver, mais me trouver dans la plénitude de mes qualités, doit chercher ma Majesté, ma Puissance, ma Divinité dans la douceur, dans la pureté, dans la charité de Marie. C’est elle qui fait de son cœur le ciboire pour le cœur de son Dieu et du vôtre.
Le corps du Seigneur s’est fait chair dans le sein de Marie, et c’est ma Mère qui vous l’offre avec le sourire, comme si Elle vous offrait son petit Enfant bien-aimé déposé dans le berceau de son cœur maternel très pur. C’est une joie pour Marie dans le Ciel que de vous donner son petit, son Seigneur. Avec le Fils, elle vous donne son cœur sans tache, ce cœur qui a aimé et souffert à un degré infini.
L’on croit généralement que ma Mère n’a souffert que moralement. C’est faux. La Mère des mortels a connu tout genre de souffrance. Non parce qu’elle l’avait mérité – elle était immaculée et elle ne portait pas en elle l’hérédité douloureuse d’Adam – mais parce, étant co-Rédemptrice et Mère de tout le genre humain, elle devait consommer le sacrifice jusqu’au fond et sous toutes ses formes.
C’est pourquoi elle subit, en tant que femme, les inévitables souffrances de la femme qui conçoit un enfant : elle souffrit les fatigues de la chair alourdie par mon poids, elle souffrit en me donnant le jour, elle souffrit pendant la fuite hâtive, elle souffrit du manque de nourriture, du froid, de la chaleur, de la soif, de la faim, de la fatigue, de la pauvreté. Pourquoi n’aurait-elle pas souffert si moi, Fils de Dieu, fut soumis aux souffrances propres à l’humanité?
Marie et moi avons fait des misères de la nature humaine autant de poids de rédemption pour vous. Encore maintenant, ma Mère souffre quand elle vous voit rebelles à moi, sourds à la grâce. La sainteté ne signifie pas exclusion de la douleur, mais au contraire, imposition de la douleur.
Remercie donc Marie, qui me donne à toi avec un sourire de Mère, pour toute la douleur que lui a value d’être ma Mère. Vous ne pensez jamais à dire « merci » à Marie dans le sein de laquelle je devins chair ! Cette chair que maintenant je vous donne pour vous nourrir à la vie éternelle ».
(Cahiers de Maria Valtorta 1943, 23 juin, p.96)
O Mère de la sainteté, qui avez donné tant d’âmes à Jésus-Christ ! Obtenez-moi d’être vivement touché de vos exemples, de ceux des saints, et de tendre de toutes mes forces à les imiter. Faites-moi considérer ma vocation au christianisme comme une obligation à la sainteté, et venez à mon aide tous les instants de ma vie, pour me les faire tous sanctifier. Reine des saints, faites-moi marcher sur vos traces, afin que je puisse vous admirer éternellement dans l’assemblée de tous les saints.
Marie, Mère de Jésus, notre Mère, priez pour nous, maintenant, afin que les hommes se réveillent, vous entendent, vous répondent et vous fassent confiance. Priez pour nous maintenant, afin que les âmes viennent vers vous qui allez les conduire à Jésus.
O Mère, maintenant faites luire la Lumière pour nous montrer la voie du salut.
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