Comment prier la couronne de la miséricorde divine
Le chapelet ou la couronne de la miséricorde divine est prié à l’aide d’un chapelet commun.
- Le signe de la croix: Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
- Prière au début: priez une fois le Notre Père, le Je vous salue Marie et le Credo des Apôtres.
- Notre Père: Notre Père qui es aux cieux, que Ton Nom soit sanctifiė, que Ton Règne vienne, que Ta volontė soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour, pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensės, et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais dėlivre-nous du Mal. Amen.
- Je vous salue Marie: Je Vous salue, Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec Vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de Vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amen.
- Credo des Apôtres: Je crois en Dieu, le Père Tout-Puissant, Créateur du ciel et de la terre. Et en Jésus-Christ, son Fils unique, notre Seigneur, qui a été conçu du Saint-Esprit, est né de la Vierge Marie, a souffert sous Ponce Pilate, a été crucifié, est mort et a été enseveli, est descendu aux enfers. Le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu le Père Tout-Puissant, d’où Il viendra juger les vivants et les morts. Je crois en l’Esprit Saint, à la sainte Eglise catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés, à la résurrection de la chair, à la vie éternelle. Amen.
- Dans les grosses perles du Notre Père dans le chapelet traditionnel avant chaque décennie: Père Eternel, je T’offre le Corps et le Sang, l’Ame et la Divinité de Ton Fils bien-aimé, notre Seigneur Jésus-Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier. (476).
- Dans les 10 petits comptes de chacun: Par Sa douloureuse passion, sois miséricordieux pour nous et pour le monde entier.
- Répétez le « Père éternel » et les 10 « Pour sa passion douloureuse »: (Nombres 6 et 7) Priez encore quatre dizaines jusqu’à ce que vous ayez terminé le chapelet commun.
- Après les cinq douzaines, la doxologie finale (trois fois): Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Eternel, prends pitié de nous et du monde entier.
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Donc, si vous avez besoin de demander ou de prier pour un malade, un mourant ou pour tout besoin, que ce soit du travail ou des études, ou pour réaliser une conversion, n’hésitez pas à le prier car la miséricorde de Dieu est répandue abondamment sur ceux qui le demandent.
Les promesses de Jésus à ceux qui prient cette couronne
Jésus a associé de grandes promesses à cette prière, tant que la dévotion est vécue correctement, c’est-à-dire dans un esprit de confiance envers Dieu et de miséricorde envers le prochain. Cette confiance doit s’exprimer par la persévérance dans la prière; Plus il y aura de confiance dans la prière, plus il y aura de persévérance dans la prière de la Couronne. Jésus a dit à sœur Faustine que tout ce qui était demandé par le chapelet pouvait être reçu, mais il n’a jamais affirmé que la réponse serait immédiate, juste après l’avoir priée une fois, à l’exception de la grâce d’une bonne mort. Dans son «Journal», sœur Faustine décrit des situations dans lesquelles ses demandes ont été entendues après avoir dit une fois le chapelet; par exemple, après une grande tempête (Journal 1731), ou encore, quand il priait sans cesse le Chapelet de mendier pour la pluie (Journal 1128). En d’autres occasions, quand il priait d’accompagner les mourants au moment de leur mort, il suffisait de prier le chapelet une seule fois pour que la grâce d’une mort heureuse et sereine soit accordée; au lieu de cela, à une autre occasion similaire, il a dû être prié plusieurs fois, car à cette occasion l’âme en question avait besoin d’une grande aide par la prière (Journal 1035).
Jésus a associé à la prière confiante du chapelet de la miséricorde divine la promesse d’obtenir une grâce, quand il a dit: à ceux qui prient ce chapelet, je suis heureux de leur donner ce qu’ils me demandent (Journal 1541), ajoutant: si (…) je ne sais pas demandez quelque chose qui puisse s’opposer à Ma volonté (Journal 1731). La volonté de Dieu est une expression de son amour pour l’homme, et donc tout ce qui peut être contraire à sa volonté signifie que c’est quelque chose de mauvais ou de nocif pour l’homme, et donc notre Père céleste ne peut pas l’accorder, car qu’il veut seulement du bien pour l’homme dans la perspective de l’éternité. Dans cette promesse générale, il ne s’agit pas seulement de grâces surnaturelles, mais aussi de biens ou d’avantages temporels.
Il y a également des promesses particulières concernant le moment de la mort, ou plus précisément, la grâce de pouvoir mourir en état de grâce, sans crainte ni terreur. Ces grâces sont réservées non seulement aux personnes qui prient le chapelet de la miséricorde divine à leur mort, mais aussi à ceux pour qui le chapelet est prié à l’heure de leur agonie. Je défendrai comme ma gloire chaque âme qui prie cette couronne à l’heure de la mort, ou quand d’autres la prient avec les mourants, qui obtiendront le même pardon. Lorsque ce chapelet est prié près des mourants, la colère divine est apaisée et la miséricorde insondable enveloppe l’âme et les entrailles de ma miséricorde sont émues par la douloureuse passion de mon fils (Journal 811). La promesse d’une bonne mort, c’est-à-dire de la conversion et du pardon des péchés, Jésus a promis, même juste en priant une fois le chapelet dans l’esprit de dévotion à la miséricorde divine, c’est-à-dire dans un esprit de confiance envers Dieu (avec foi, espérance, charité et humilité, ainsi qu’avec un profond repentir pour les péchés commis) et avec une disposition à exercer sa miséricorde envers les autres. Même le pécheur le plus invétéré, s’il prie cette couronne une fois, recevra la grâce de Ma miséricorde infinie (Journal 687).
L’ampleur des grâces associées à cette prière s’est exprimée par les paroles de Jésus à sœur Faustine: par la prière de cette couronne vous rapprochez l’humanité de Moi (Journal 929). Les prêtres devraient la recommander aux pécheurs comme dernière table de salut (Cf. Journal 687).